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BIGGERS (Earl Derr).

Derrière ce rideau (Behind That Curtain).

Perrin, 1930, in-12, 312 pp, traduit de l'anglais par Louis Postif, broché, bon état

Charlie Chan, détective américain d'origine chinoise est un personnage de fiction créé en 1925 par Earl Derr Biggers. Il est le héros de six romans, d'une douzaine de films, de bandes dessinées, de feuilletons radiophoniques, de dessins animés et de jeux de société. Tout d'abord sergent de la police d'Honolulu, il est marié et a quatorze enfants. Plutôt corpulent, il ne manque cependant pas de grâce dans ses mouvements. "Behind That Curtain" (1928) est le troisième roman le mettant en scène.

DARD (Frédéric).

Cette mort dont tu parlais.

Fleuve Noir, 1957, in-12, 219 pp, couv. illustrée par Michel Gourdon, édition originale de ce roman dédié à Jean Cocteau. Petit manque de papier sur une garde (nom d'un précédent propriétaire déchiré), sinon bon état (Coll. Special Police, n° 115)

DARD (Frédéric).

Plomo para ellas.

Barcelona, Buenos Aires, Editiones Toray, 1968, in-12, 200 pp, broché, couv. illustrée par Noiquet, bon état (Coll. Hurón, nº 22). Traduction en espagnol de “Du plomb pour ces demoiselles”

"En aquellas manos estaba la clave del oscuro enigma. Y sin embargo, eran manos vacias. Ellas inocentes o culpables, eran tan bellas!"

DARD (Frédéric) sous le pseudonyme d'Alain MOURY.

Le Mexicain roux.

Laffont, 1966, pt in-8°, 260 pp, couv. illustrée à rabats, édition originale, état correct (Coll. “Week-End”)

Autour de l'hacienda du célèbre matador Menéndez, à la pointe extrème de l'Andalousie, rôde une menace sans visage, la Sécurité espagnole et un mystérieux Mexicain roux sont sur les dents.... L'information selon laquelle Frédéric Dard serait le véritable auteur du livre figure dans le bulletin de liaison n° 13 des Polarophiles Tranquilles (décembre 2008), article "Alain Moury, scénariste et écrivain" par Alexandre Clément. Vous pouvez lire l'article sur leur site (http://polarophile.free.fr/bulletins.htm).

FIECHTER (Jean-Jacques).

Tiré à part.

Denoël, 1993, in-8°, 173 pp, broché, bon état (Coll. Sueurs froides). Edition originale (il n'est pas mentionné de grands papiers), bande éditeur conservée (« Le livre qui tue »), prière d'insérer, envoi a.s. (Grand prix de la littérature policière 1994)

Dès la page trois, un sentiment d'horreur m'envahit... Mais malgré les torrents de haine qui me submergeaient, j'étais assez lucide pour pressentir que ce nouveau livre allait propulser Fabry au premier rang des auteurs français. Le sujet en était émouvant, neuf, le style beaucoup plus nerveux et percutant que celui de ses livres précédents... J'entrevis dans un éclair la possibilité d'utiliser l'énorme potentiel de ce roman pour favoriser ma vengeance... Sans violence apparente, une histoire de crime parfait dont l'arme est un livre. Les pages n'en sont pas empoisonnées ; il ne fait pas office d'objet contondant ; c'est son existence même qui, par une extraordinaire acrobatie littéraire, est meurtrière. – Jean-Jacques Fiechter est historien de métier. Auteur de plusieurs ouvrages d'érudition, il signe ici un premier roman appelé à devenir un classique de l'intrigue criminelle.

HAMMETT (Dashiell).

Flic Maison - Piège à filles.

P., Editions Opta, Club du Livre Policier, 1967, in-8°, xii-375 pp, préface par Ellery Queen, photo de l'auteur en frontispice, bibliographie, reliure toile blanche illustrée de l'éditeur sous rhodoïd, dos lisse avec titres en noir, signet, bon état (Club du Livre Policier, 44)

HIGHSMITH (Patricia).

Une créature de rêve.

Calmann-Lévy, 1986, in-8°, 320 pp, ex. du SP, discret C. de bibl.

JOHNSON (Diane).

Dashiell Hammett : une vie. Traduit de l'américain.

Payot, 1989, in-8°, 514 pp, bibliographie, filmographie, index, broché, couv. illustrée, une tache sur la tranche, sinon bon état

Lillian Hellman, la compagne de Dashiell Hammett, a ouvert ses archives à Diane Johnson, révélant ainsi des aspects inconnus de la vie de cet immense écrivain, décédé en 1961, miné par l'alcool et la tuberculose. Dashiell Hammett ; originaire d'un comté rural du Maryland, quitte l'école à quatorze ans pour excercer divers métiers. C'est à la parution de son cinquième livre, L'introuvable, qu'il connaîtra le succès. Après avoir fréquenté les milieux du cinéma à Hollywood, il subira lors de son retour de la Seconde Guerre mondiale les attaques violentes du maccarthysme, et connaîtra la prison, victime de son soutien à l'URSS. Son oeuvre a révolutionné la littérature de notre époque, et Dashiell Hammett, l'inventeur du « polar noir », est considéré aujourd'hui comme l'égal des plus grands.

LACROIX (Jean-Paul).

Le Gangster aux Étoiles.

Calmann-Lévy, 1954, in-12, 226 pp, broché, couv. illustrée par Jacques Faizant, bon état (Coll. Labiche)

La notice de la 4e de couv. présentant l'ouvrage est signée Albert Simonin.

MALET (Léo).

Boulevard... Ossements.

Le Livre de Poche, 1973, in-12, 190 pp, broché, couv. illustrée, bon état (Les nouveaux mystères de Paris, IXe arrt.)

il l'avoue lui-même, « adore mordre dans le nylon et la lingerie froufroutante ». Avec Natacha et Sonia, les deux Russes blanches au passé trouble, qui tiennent un magasin de luxueuses frivolités, boulevard Haussmann, il est servi. Gaines, soutiens-gorge, slips arachnéens, diamants, lapidaires, cuisinier chinois, cosaque djiguite, blonde dans un placard, squelette unijambiste, c'est un lot, c'est une affaire, un vrai bric-à-brac pour l'Hôtel Drouot. Avec Nestor Burma, « mordez dans le nylon ».

MALET (Léo).

Des kilomètres de linceuls.

Le Livre de Poche, 1976, in-12, 189 pp, broché, couv. illustrée, bon état (Les nouveaux mystères de Paris, IIe arrt.)

« La rue des Petits-Champs est parmi celle où l'on rencontre les plus jolies femmes de Paris », songeait rêveusement Nestor Burma lorsque entra dans son bureau Esther Lévyberg. Elle venait demander, contre le fantôme de son amant, la protection du détective pour elle et son frère. Son frère qui vendait, rue des Jeûneurs, de la toile au kilomètre. De la toile dont on fait des linceuls.

MALET (Léo).

Enigme aux Folies-Bergère.

Marabout, 1978, in-12, 191 pp, broché,

Une enquête publiée initialement sous le pseudonyme d'Omer Refreger.

MALET (Léo).

Fièvre au Marais.

Le Livre de Poche, 1972, in-12, 190 pp, broché, couv. illustrée, bon état (Les nouveaux mystères de Paris, IIIe arrt.)

Elle leva le bras pour écarter une mèche blonde qui folâtrait sur son visage et, dans le mouvement, comme une flamme rose, un sein jaillit de sa chemise de soie. Je sentis ma gorge devenir sèche et mon pouls s'accélérer. Un grand désir me submergeait soudain devant cette fille qui s'offrait avec une impudeur tranquille. Je. Non. Je ne pouvais pas. Je sortis, emportant dans mes narines le souvenir de son odeur.

MALET (Léo).

Gros plan du macchabée.

Editions de la Butte aux Cailles, 1982, in-12, 167 pp, broché,

Une aventure de Nestor Burma, détective de choc.

MALET (Léo).

La Nuit de Saint-Germain-des-Prés.

Le Livre de Poche, 1973, in-12, 189 pp, broché, couv. illustrée, bon état (Les nouveaux mystères de Paris, Ve arrt.)

Dans un quartier de Paris que Léo Malet connaît bien pour le fréquenter depuis 1935, Nestor Burma est chargée d'une mission vraiment spéciale. Cette mission, qui s'inscrit nettement en marge de la légalité, le détective de choc se demande avec inquiétude s'il a eu raison de l'accepter. En suivant Nestor Burma d'hôtels sordides en établissements plus luxueux, de snack-bars en cafés littéraires, en passant par l'élection de Miss Poubelle, nous rencontrerons, outre des gangsters voleurs de bijoux, un raté masochiste, des rats de caves, faux bohèmes inoffensifs ou jeunes gens « paumés », et un écrivain raffiné qui cherche à forcer l'inspiration par des procédés discutables, au cours de réceptions résolument humides. Un roman dont l'action se passe en 1954.

MALET (Léo).

Le Cinquième procédé.

Librairie de la Butte aux Cailles, 1980, in-12, 205 pp, broché,

Une aventure de Nestor Burma, détective de choc. – Un homme était étendu, des liens aux poignets et aux chevilles, les vêtements souillés. M. Maillard en personne, raide comme un morceau de bois. La sourde avait raison. Pour une rue tranquille, c'était une rue tranquille. Je ne connaissais même véritablement que la morgue pour rivaliser de tranquillité avec cette rue.

MALET (Léo).

L'envahissant cadavre de la plaine Monceau.

Le Livre de Poche, 1971, in-12, 252 pp, broché, couv. illustrée, pelliculage du dos lég. abîmé, état correct (Les nouveaux mystères de Paris, XVIIe arrt.)

Installée de guingois sur un canapé, une jambe repliée sous elle et l'autre pendante, la fille n'est vêtue que d'escarpins à talon aiguille et d'une paire de bas noirs tendus par un mince porte-jarretelles de nylon également noir. Au-dessus d'opulents seins arrogants, une adorable petite gueule, encadrée de lumineux cheveux cascadeurs, s'agrémente d'un sourire espiègle, candido-vicelard, du plus troublant effet. Ce n'est qu'une photo. Une parmi les trente ou quarante autres, de même farine, qui illustrent “Frissons Très Parisiens”, magazine galant, vente interdite aux mineurs, défense d'afficher et de montrer son derrière à tous les passants. – Eh bien ? interroge Dany Darnys. – On jurerait que c'est vous, dis-je. – Mais ce n'est pas moi, proteste-t-elle.

MALET (Léo).

L'envahissant cadavre de la plaine Monceau.

Le Livre de Poche, 1971, in-12, 252 pp, broché, couv. illustrée, bon état (Les nouveaux mystères de Paris, XVIIe arrt.)

Installée de guingois sur un canapé, une jambe repliée sous elle et l'autre pendante, la fille n'est vêtue que d'escarpins à talon aiguille et d'une paire de bas noirs tendus par un mince porte-jarretelles de nylon également noir. Au-dessus d'opulents seins arrogants, une adorable petite gueule, encadrée de lumineux cheveux cascadeurs, s'agrémente d'un sourire espiègle, candido-vicelard, du plus troublant effet. Ce n'est qu'une photo. Une parmi les trente ou quarante autres, de même farine, qui illustrent “Frissons Très Parisiens”, magazine galant, vente interdite aux mineurs, défense d'afficher et de montrer son derrière à tous les passants. – Eh bien ? interroge Dany Darnys. – On jurerait que c'est vous, dis-je. – Mais ce n'est pas moi, proteste-t-elle.

MALET (Léo).

Les Eaux troubles de Javel.

Le Livre de Poche, 1974, in-12, 222 pp, broché, couv. illustrée, bon état (Les nouveaux mystères de Paris, XVe arrt.)

Paul Demessy, un ancien clochard devenu manoeuvre métallurgiste, a disparu de son domicile de la rue de la Saïda. Nestor Burma part à sa recherche. Usines Citroën, Bal Nègre de la rue Blomet, café maure de la rue Payen, pont Mirabeau (ô Guillaume Apollinaire !), tel est l'itinéraire de la promenade que le détective de choc entreprend alors, promenade avec cadavres en guise de bornes kilométriques. Et se mouvant au milieu du mystère, tantôt pour l'éclairer, tantôt pour l'épaissir, trois femmes : Zorga-Tinéa, la voyante qui opère à l'ombre du Vel'd'Hiv ; Wanda, la blonde de la place de Breteuil et la capiteuse Jeanne, qui scandalise si fort les locataires d'une sinistre H.L.M. L'action de ce roman se passe en 1956.

MALET (Léo).

Le Soleil naît derrière le Louvre.

Le Livre de Poche, 1976, in-12, 188 pp, broché, couv. illustrée, bon état (Les nouveaux mystères de Paris, Ier arrt.)

C'est de la fenêtre d'une chambre de palace que, par deux fois, Nestor Burma verra le soleil naître derrière le Louvre, avec tout ce qu'une naissance suppose de cris, tant d'amour que de douleur. Il ne s'imaginait pourtant pas être conduit là, alors qu'il sillonnait le carreau des Halles, à la recherche d'un mari volage. Mais, entre-temps, il n'avait pas fait que retrouver l'infidèle. Il y avait eu aussi un cadavre. Et ce cadavre, « du diable entendu », appelait des cadavres encore.

MALET (Léo).

Les paletots sans manches.

Editions de la Butte aux Cailles, 1980, in-12, 214 pp, broché,

Une aventure de Nestor Burma, détective de choc. – Et voici, vénéreux et hostile sous la clarté blafarde de la lune, le château Flauvigny. Il s'étire, s'allonge, se rapetisse ou grandit, selon que j'avance ou recule, au gré fantasque des zigzags. Je gravis le perron sur les genoux. Je saisis le pied d'une des porteuses de flambeaux et me hisse lentement le long de son mollet et de sa cuisse. J'enlace la créature de bronze, je lui palpe les seins, j'embrasse sa bouche froide et me libère, en crachant, du souvenir de métal. Je frissonne et me dirige vers sa copine, en me souhaitant plus de chance. Et, en effet, l'autre est moins froide. Pourtant elle est frileuse, puisqu'elle s'est habillée. Elle porte, sous une cape de fourrure, une chemise de nuit fine, jolie et attirante comme un suaire de fantôme. Elle est pieds nus. Elle n'a pas la couleur du bronze. La lune argente ses cheveux blonds. Elle ne tient pas de flambeau. Et sous l'étreinte, pourtant bien faible de mes bras, elle frémit.

MALET (Léo).

Les Rats de Montsouris.

Le Livre de Poche, 1974, in-12, 189 pp, broché, couv. illustrée, bon état (Les nouveaux mystères de Paris, XIVe arrt.)

L'affaire dépasse de loin la bande des « Rats de Montsouris », cambrioleurs minables qui écument le XIVe arrondissement, du côté de la Tombe Issoire. Par l'un de ses membres, ex-camarade de captivité accusé de chantage par un ancien ténor de la magistrature, Nestor Burma apprend qu'il s'agirait de millions en bijoux cachés depuis la fin de la guerre. L'enquête conduit le détective chez le détenteur d'une étrange sculpture, sirène incrustée de coquillages, et un interné de Sainte-Anne, énigmatique auteur de poèmes tout aussi surréalistes. Le plan de vengeance machiavélique que découvre Burma pourrait être considéré lui aussi comme un des beaux-arts...

MALET (Léo).

L'homme au sang bleu.

Marabout, 1978, in-12, 155 pp, préface de François Bott, broché, broché, pt manque au dos, bon état

Une aventure de Nestor Burma, détective de choc. – « Bravo, songeai-je. Ça va chauffer. » Je ne croyais pas si bien dire. Dans le temps que je formulais mentalement cette banalité, le tac-tac-tac d'un chour de pistolets automatiques faisait retentir les échos. Jetant ma valise en avant, je m'allongeai prestement sur le sol, à côté d'un adolescent à tête de voyou.

MALET (Léo).

Nestor Burma contre C.Q.F.D.

Librairie de la Butte aux Cailles, 1979, in-12, 189 pp, broché, couv. illustrée, bon état

Nestor Burma contre C. Q. F. D.est, chronologiquement, la deuxième aventure du bien connu détective de choc. Elle se situe en 1942, dans un Paris camouflé, soumis aux alertes et aux restrictions. A côté des personnages habituels de la « saga nestorienne », c'est-à-dire Burma lui-même, sa secrétaire Hélène, l'inspecteur Faroux (pas encore commissaire) et le journaliste-éponge Marc Covet, évoluent un bon-bourgeois-à-surprises, un nain-à-complexes, un maître-chanteur-un-peu-trop-sûr-de-lui, un assassin-adroit. sans oublier les quelques cadavres indispensables à ce genre de récit. et la mystérieuse Lydia dont le charme met en échec le cynisme – peut-être de façade – de Nestor Burma.

MALET (Léo).

Pas de bavard à La Muette.

Le Livre de Poche, 1972, in-12, 281 pp, broché, couv. illustrée, bon état (Les nouveaux mystères de Paris, XVIe arrt.)

Il se passa alors quelque chose d'inattendu. Elle portait une longue et ample robe de satin noir, décolletée au maximum, d'oùémergeaient ses bras et ses épaules. et cette robe glissa brusquement du corps de la fille, s'amoncelant en un tas soyeux autour de ses chevilles. Et Suzanne m'apparut nue comme un ver, sans slip ni feuille de vigne, sans rien que sa beauté, et toute droite, sculpturale, ses seins menus, gonflés de jeune sève, frémissants, toute droite et immobile, magnifique d'impudicité, comme surgissant d'une fleur vénéneuse. Je lâchai prise, un peu soufflé. Elle en connaissait des trucs pour vous couper le respir, cette Marie-Chantal !

MALET (Léo).

Un croque-mort nommé Nestor.

Fleuve Noir, 1981, in-12, 221 pp, broché, bon état (Coll. Spécial Police)

C'était vraiment un drôle de corps, cette Janine ! Et qui, pour une pensionnaire, s'y entendait bigrement, rayon vision d'art ! Debout, raide comme un piquet, si droite qu'elle en paraissait plus grande, immense, elle était sur ses bas et, à part ses bas mêmes, le noir porte-jarretelles qui les maintenait bien tirés, et un slip bordé de dentelle, elle n'avait rien d'autre. Rien d'autres. sauf, dans sa main crispée, le coupe-papier dont elle me menaçait, moi, Nestor Burma, détective de choc. Il y avait de quoi en éprouver un !

MARTENS (Michel).

Underwood U.S.A. Balade sur les touches du roman noir américain. Suivi d'une bibliographie établie par François Guérif.

Balland, 1980, in-8°, 288 pp, broché, couv. illustrée, état correct

Le travail bibliographique de Guérif (p. 181 à 288) est constitué de notices bio-bibliographiques sur 100 auteurs de romans noirs américains.

MONTEILHET (Hubert).

De quelques crimes parfaits. Divertissement criminel.

Denoël, 1969, pt in-8°, 202 pp,

MONTGOMERY (Oscar).

Les blondes sont toujours dangereuses. Adaptation française de A. Deltour.

Ed. Le Trotteur, s.d., in-12, 190 pp, pt trace de mouillure au bas des derniers feuillets, belle couverture illustrée (Collection Noire franco-américaine)

PAGAN (Hugues).

Boulevard des allongés.

Fleuve Noir, 1984, in-12, 218 pp, (Coll. Engrenage)

PAGAN (Hugues).

Je suis un soir d'été.

Fleuve Noir, 1983, in-12, 190 pp, (Coll. Engrenage)

PARSONS (Julie).

En mémoire de Mary.

Calmann-Lévy, 1999, in-8°, 373 pp, (Coll. Suspense). Très bon état

RENDELL (Ruth).

L'homme à la tortue.

Calmann-Levy, 1987, in-8°, 298 pp, ex. du SP, discret C. de bibl.

RENDELL (Ruth).

Un enfant pour un autre.

Calmann-Lévy, 1986, in-8°, 272 pp, ex. du SP, discret C. de bibl.

RIVIERE (François).

Frédéric Dard ou la vie privée de San-Antonio.

Fleuve Noir, 1999, in-8°, 319 pp, 24 pl. de photos et documents hors texte en noir et en couleurs, biblio

[Roman policier] – LEE (Gypsy Rose).

Mort aux Femmes nues !.. (The G-String Murders). Traduit de l'américain par Michel Le Houbie et Léo Malet.

P., S.E.P.E., 1950, in-12, 251 pp, cartonnage souple bleu orné d'un insigne de police argenté de l'éditeur, coiffe inf. lég. abîmée, qqs marques d'usure sur mors et coiffes, bon état (Coll. Soir-Police)

La carrière de Gypsy Rose Lee, célèbre danseuse de music-hall et strip-teaseuse (1911-1970), fut à ce point extraordinaire qu'une comédie musicale à Broadway, puis deux films, lui furent consacrés. Son truc : elle parlait en se déshabillant, improvisant des dialogues absurdes et grivois avec le public. Cela dura trente ans, sans qu'elle ne se montre jamais tout à fait nue… Elle est l'auteur d'un roman policier, "Mort aux femmes nues", adapté en français par Léo Malet. Ce roman, situé dans un théâtre de vaudeville de New York où a lieu un double meurtre, met en scène Gypsy Rose Lee elle-même ; il a été écrit en collaboration avec Craig Rice, et adapté au cinéma en 1943 par William Wellman sous le titre "Lady of Burlesque", avec Barbara Stanwyck. C'est une enquête hilarante : "Les strip-teaseuses de l'Old Opera ne vont pas se laisser marcher sur les pieds. Que cette soi-disant princesse Nirvena, danseuse pseudo-russe débarquée d'un bastringue de Toledo les snobe, passe encore. Mais qu'elle sème la perturbation dans le programme et fasse son strip en enlevant tout, au mépris du règlement de la boîte c'est trop. Qu'est-ce que les filles peuvent faire après ça ? leur numéro est fichu en l'air... Sans compter que ce genre d'exhibition attire toujours un tas d'empoisonnements. Car aussi bizarre que ça paraisse, tout le monde n'aime pas les femmes nues..." — Le livre sera réédité chez Fayard en 1963 (Coll. L'Aventure criminelle) et aux éditions du Masque en 1987 (Coll. Les Reines du crime).

[Roman policier] – LEROUX (Gaston).

Le Mystère de la Chambre jaune.

P., Editions Pierre Lafitte, s.d. (v. 1920), in-12, 256 pp, mention de 29e mille, reliure demi-percaline vermillon, dos lisse avec titres, fleuron et double filet dorés en queue (rel. de l'époque), papier jauni, bon état (Coll. Les Aventures extraordinaires de Joseph Rouletabille, reporter)

L'ouvrage n'est pas daté mais la liste des ouvrages du même auteur mentionne « La Bataille invisible » (10e mille), titre publié pour la première fois en volume chez Lafitte en décembre 1920. — Par Gaston Leroux (1868-1927), avocat et grand reporter, surtout connu pour ses romans policiers. Son roman « Le Mystère de la chambre jaune », chef-d'œuvre d'ingéniosité qui inspirera les surréalistes, lui vaut le succès en 1908. Il continue à écrire des romans dans la même veine, Le Fantôme de l'Opéra en 1910, La Poupée sanglante en 1923 et la série des Chéri-Bibi à partir de 1913...

[SAN-ANTONIO] – BOVIATSIS (Renée).

L’humanisme de San-Antonio.

La Pensée Universelle, 1980, pt in-8°, 158 pp, broché, bon état. Edition originale. Rare

Après avoir écrit sa thèse de Doctorat sur l’humanisme de Bergson, Renée Boviatsis, professeur de philosophie, a récidivé avec ce livre de 158 pages traitant de l’humanisme de San-Antonio. Elle voit en San-Antonio un philosophe authentique, un humaniste. San-Antonio s’intéresse aux hommes, à l’homme. Humanisme sans aucune illusion : « Un homme, ça n’a jamais été grand-chose », mais humanisme empreint de tendresse et de générosité. La philosophie de San-Antonio, et c’est là son mérite, est une philosophie concrète, issue de la vie. — "Les études sur l’œuvre, si elles sont nombreuses, ne sont toutefois pas à la mesure du succès ni de la diffusion des livres d’un des auteurs les plus lus du XXe siècle. Rien de comparable, par exemple, avec les études sur Proust, Céline ou Simenon ! Parmi celles-ci, il faut mentionner le livre très intéressant, mais malheureusement difficile à trouver, de Renée Boviatsis, “L'Humanisme de San-Antonio”, paru à la Pensée universelle en 1980." (Eric Bouhier, Dictionnaire amoureux de San-Antonio, 2017) — "L'œuvre de San Antonio est sans conteste un monument de la littérature contemporaine... profitons de la verve tonifiante de San-Antonio, de ce grand petit garçon, qui pour notre bonheur et notre honneur a su désavouer les pédants, les minus, les minables..." (Renée Boviatsis)

SAN-ANTONIO - (Frédéric DARD).

Du brut pour les brutes. (Coll. Spécial Police n° 225).

Paris, Fleuve noir, 1964, in-12, 220 pp, broché, couverture illustrée par Gourdon, Commissaire San-Antonio dans un bandeau rouge. (Déjà parus dans la même collection : 421). A l'état de neuf

SAN-ANTONIO - (Frédéric DARD).

Fais gaffe à tes os. (Coll. Spécial Police n° 90).

P., Fleuve noir, 1965, in-12, 218 pp, broché, couverture illustrée par Gourdon, Commissaire San-Antonio dans un bandeau rouge. (Déjà parus dans la même collection : HSP 511). A l'état de neuf

SAN-ANTONIO - (Frédéric DARD).

La Tombola des voyous. (Coll. Spécial Police n° 129).

P., Fleuve noir, 1965, in-12, 219 pp, broché, couverture illustrée par Gourdon, Commissaire San-Antonio dans un bandeau rouge. (Déjà parus dans la même collection : 447). A l'état de neuf

SAN-ANTONIO - (Frédéric DARD).

Les souris ont la peau tendre. (Coll. Spécial Police n° 19).

P., Fleuve noir, 1965, in-12, 220 pp, broché, couverture illustrée par Gourdon, Commissaire San-Antonio dans un bandeau rouge. (Déjà parus dans la même collection : 447). A l'état de neuf

[Sherlock Holmes].

L'Univers de Sherlock Holmes au Louvre des Antiquaires. Une étude dirigée par la Société Sherlock Holmes de France.

P., Louvre des Antiquaires, 1997, gr. in-8° carré, 99 pp, 76 illustrations et plans en noir, 4 planches en couleurs, un plan de Paris à l'époque de Sherlock Holmes, broché, couv. illustrée par Jean-Pierre Cagnat, bon état

Paris au temps de Sherlock Holmes. — Ouvrage publié en septembre 1997 à l'occasion de l'exposition de cinq mois du Louvre des Antiquaires. Sommaire : L'Affaire des deux hôtels du Louvre ou pourquoi une exposition Sherlock Holmes au Louvre des Antiquaires (Thierry Saint-Joanis) ; Visite des Grands Magasins du Louvre qui abritent aujourd'hui le Louvre des Antiquaires. D'après l'album de présentation des Grands Magasins du Louvre, édité à l'époque de Sherlock Holmes ; L'Univers de Sherlock Holmes. Présentation de l'exposition ; Le Sitting-Room de Sherlock Holmes (Thierry Saint-Joanis) ; Enquête sur Sherlock Holmes (Thierry Saint-Joanis) ; N'oublions pas le docteur Watson... (Alexis Barquin) ; ... et Sir Arthur Conan Doyle (Alexis Barquin) ; L'Etude en rouge ; Les Six Napoléons ; Peter le Noir ; Le Chien des Baskerville ; Les Trois-Pignons ; L'Illustre client (Pierre Le Gloanic) ; Les Trois Garrideb ; Bijoux et pierres précieuses dans les aventures de Sherlock Holmes (Anne-Sophie Mailliez) ; Un gazogène n'est pas un seltzogène. La fin d'un mythe holmésien anglo-saxon (Bernard Oudin) ; Les Plans du Bruce-Partington (Sylvain Policard) ; L'Histoire du sous-marin et la mystification du Bruce-Partington. Faits et Déductions (Roland Nicolas) ; Camille Pissarro et Sherlock Holmes (Jean-Pierre Cagnat et Thierry Saint-Joanis) ; Les Anarchistes à la fin du XIXe siècle. Les Amis de Pissarro (Bernard Oudin) ; L'Affaire du capitaine fatigué (René Reouven) ; Oberstein ou la raison d'Etat (José Luiz Errazquin) ; Le Morse ou un décodage de l'aventure des plans du Bruce-Partington (Sébastien Le Page) ; Les Mystères du métro de Londres (Bernard Prunet) ; L'Hôtel du Louvres et son client illustre (Wladimir Bogomoletz) ; Sherlock Holmes et les hôtels de Londres et d'ailleurs (Bernard Oudin) ; Louis La Rothière. Au secret du roi (Juan A. Requena) ; Holmes, héritier d'Horace Vernet ou Quand Baudelaire discourt sur la Méthode... (Xavier Mauméjean) ; Le Greuze de Moriarty. La vente de Portalis de 1865 (d'après Jack Tracy).

SIMENON (Georges).

Mémoires intimes, suivis du livre de Marie-Jo.

Presses de la Cité, oct. 1981, fort in-8°, 756 pp, broché, couv. illustrée, tranche salie, sinon bon état. Edition originale pour laquelle il n'a pas été imprimé de grands papiers

Edition originale peu courante (octobre 1981). L'ouvrage sera retiré de la vente suite à une décision judiciaire du tribunal de Grande Instance de Paris du 9 novembre 1981, à la demande de Mme Denyse Simenon-Ouimet, et réimprimé avec des passages supprimés et une note de Simenon concernant la suppression de ces passages pages 495, 496, 719 et 721 (31 lignes supprimées en tout, dont 25 de Marie-Jo). — "Une chose paraît évidente : Simenon a voulu écrire une suite à 'Pedigree', et, sans la moindre pudeur, se mettre à nu. Il livre toute sa vie, qu'il raconte à Marie-Jo et à ses trois fils, Marc, Johnny et Pierre. Cette vie, il la raconte « la mémoire enfin débarrassée du sordide » et avec une stupéfiante précision. Les lieux, les gens, l'atmosphère, tout est noté. Tel quel. Ce n'est pas le romancier qui tient la plume, mais l'ethnologue. L'ethnologue de la tribu Simenon. Femmes et enfants en tête, bien sûr, mais aussi gouvernantes, nurses, chauffeur, secrétaires, amis et amies, animaux, maisons, voitures. Désormais, n'importe qui ayant lu ces Mémoires pourra parler de Simenon comme s'il avait partagé sa vie. Tout y est dit. Des bobos aux troussages de dames et de demoiselles. Car Simenon, chacun le sait, n'a pas pêché par manque d'amour envers son prochain, surtout pas au féminin pluriel. L'étonnant, c'est que malgré la crudité des détails, le récit n'a rien du déballage. Simenon n'analyse ni ne dilue. Il aligne les faits d'une vie ordinaire. Pas d'argent, mais une folle envie de vivre ! Simenon a été petit journaliste et grand reporter, secrétaire d'un marquis, conteurs sous différents pseudonymes. Il a essayé la boxe en salle, s'est marié une première fois à dix-neuf ans, a roulé sur une grosse moto américaine sur la route des Ardennes et réalisé lui-même les plans de sa somptueuse maison d'Epalinges (Vaud, Suisse). Mémoires intimes, c'est encore le récit des rencontres avec ses grands amis : Pagnol, Cocteau, les frères Kessel, Pierre Lazareff, Picasso, Chaplin, Fellini... L'accablant témoignage des rapports passionnels, puis de plus en plus tumultueux, avec Denyse, sa seconde femme, qui rêve de se hisser à la hauteur de son mari, de briller et de dominer, mais qui boit et sombre dans la dépression nerveuse... Le cri de douleur ; l'hommage à Marie-Jo, sa fille adorée, qui mythifie son père, rêve d'un amour incestueux, lit tous ses livres, cherche désespérément sa voie et, malgré les soins prodigués par d'éminents psychiatres, perd peu à peu son équilibre mental... Le dialogue entre le père et la fille devient pathétique ; c'est pour elle que Simenon, pour clore ses Mémoires, ouvre le Livre de Marie-Jo : la reproduction des lettres, des poèmes et des cassettes qu'elle lui a adressés. Des pages brûlantes d'une tendresse excessive, d'amour de la vie, de larmes, de supplications..."

VERNES (Henri).

Base Clandestine. Les aventures de Luc Dassaut.

Hachette, 1957, in-12, 190 pp, illustrations de François Batet, cart. vert éditeur, sans la jaquette. Rare édition originale de ce "clone" de Bob Morane, achevé d'imprimer du 4ème trimestre 1957 - Collection "Bibliothèque de Jeunesse". Très bon état

VERNES (Henri).

Dans le Triangle des Bermudes.

Marabout, 1977, in-12, 155 pp, édition originale, couverture de William Vance, illustrations de Henri Lievens (Bob Morane 142, Coll. Pocket Marabout, n° 151). Bon état

VERNES (Henri).

La Malle à malices.

Marabout, 1976, in-12, 154 pp, édition originale, couverture et illustrations de Henri Lievens (Bob Morane 138, Coll. Pocket Marabout, n° 147). Très bon état. "Il n'y a pas de malles ordinaires. Elles ont toujours quelque chose d'inquiétant, les malles. On fait la malle : départ, absence. Il y a les malles des greniers : pleines de mystères.Celles oubliées dans les consignes des gares, mieux vaut ne pas en parler.Mais quand une malle se met à être réellement maléfique !.. Un seul remède pour conjurer le sort : BOB MORANE."

VERNES (Henri).

Les Jardins de l'Ombre jaune.

Verviers, Gerard & Cie, Marabout, 1966, in-12, 151 pp, une carte, couverture illustrée par Pierre Joubert (Coll. Marabout junior n° 315). Bon état

VERNES (Henri).

L'Ombre jaune fait trembler la Terre.

Marabout, 1976, in-12, 142 pp, édition originale, couverture et illustrations de Henri Lievens (Bob Morane 139, Coll. Pocket Marabout, n° 148). Bon état

VERNES (Henri).

Un Parfum d'Ylang-Ylang.

Marabout, 1967, in-12, 150 pp, édition originale, couverture et illustrations de Pierre Joubert (Coll. Pocket Marabout, n° 6). Bon état