Les Bords du Rhin de la frontière suisse à la frontière de Hollande. Manuel du voyageur. Avec 43 cartes, 19 plans hors texte et plusieurs autres plans. Seizième édition revue et mise à jour.
Leipzig, Baedeker et Paris, Ollendorff, 1900, in-12, xx-331 pp, index, reliure percaline rouge éditeur, tranches jaspées, une carte mal repliée et lég. abîmée, bon état
I. Francfort, Taunus, Heidelberg, Mannheim, Karlsruhe, Forêt-Noire, Haut-Rhin badois. – II. Hesse Rhénane, Palatinat, Alsace. – III. Mayence, Wiesbade, Le Rhin jusqu'à Coblentz, Vallées de la Nahe et de la Lahn. –IV. Vallée de la Moselle, Metz, Vallée de la Sarre, Eifel. –V. Le Rhin de Coblentz à Cologne, Lac de Laach, Vallée de l'Ahr, Les Sept-Montagnes. –V. Cologne, Aix-la-Chapelle, Bas-Rhin. — "Dans la Souabe qu'arrose un affluent du Rhin, le Neckar, et qui sert de trait d'union entre le Pays de Bade et la Bavière, les ducs de Wurtemberg, possessionnés en France à Montbéliard et notamment Charles-Eugène, qui régna de 1737 à 1793, étaient des gallomanes enragés. Leur palais de Stuttgart avait été commencé sur les plans de l'Italien Retti. La direction des travaux fut transmise au Français Louis-Philippe de La Guêpière qui modifia radicalement la distribution intérieure des salons d'apparat pour y insérer des copies de l'Escalier des Ambassadeurs et de la Galerie des Glaces de Versailles. Ainsi toute la vallée du Rhin aves ses affluents, depuis Stuttgart et Carlsruhe jusqu'à Bonn, en passant par les villes de confluents : Mannheim, Mayence et Coblence, devient une colonie de l'art versaillais. (...) L'attention des touristes qui descendent le Rhin avec un Baedeker rouge à la main est accaparée par des burgs romantiques, les uns en ruines, les autres outrageusement restaurés, qui ne sont qu'un médiocre décor d'opéra, destiné à accompagner le chant de la Lorelei ou l'orchestre des Nibelungen..." (Louis Réau, Revue d’Histoire moderne et contemporaine)
Petite Garnison. Roman de moeurs militaire. Conseil de guerre de Metz (33e division), seul compte rendu officiel des débats des 9, 10 et 11 novembre 1903.
P., Librairie populaire universelle, 1904, pt in-8°, xxiv-244 pp, reliure demi-percaline havane clair, dos lisse avec titres et fleuron dorés, couv. illustrée conservée, bon état. Ouvrage saisi et interdit en Allemagne
"A partir de septembre 1903 commença le scandale de la "Petite Garnison" dont le retentissement fut mondial. Depuis 1893 Forbach avait eu une garnison permanente, le 16e Train commandé par le major Fuchs. Le lieutenant Bilse, né en 1878, fils d'instituteur, contre lequel des mesures disciplinaires étaient en cours, avait voulu se venger en faisant paraître, sous le pseudonyme de Fritz von der Kyrburg, un roman de moeurs militaires sous le titre "Aus einer kleinen Garnison". L'éditeur Sattler de Braunschweig ne respecta pas sa promesse de ne pas le vendre en Alsace-Lorraine. Bilse avait brossé un tableau croustillant sur les moeurs dépravées de la plupart de ses camarades officiers négligeant leur service, brutalisant leurs hommes, endettés, adultères, coureurs de jupons et ivrognes. C'était un roman à clef dont l'enquête et la rumeur publique percèrent vite les pseudonymes. Le procès établit le caractère véridique de la plupart des faits, notamment la lâcheté du major Fuchs dans une affaire d'honneur avec un civil. Ce fut le bestseller de l'année malgré la médiocrité littéraire. Pour la social-démocratie de Bebel et les puissances jalouses, voire ennemies de l'Allemagne ce scandale fut le bienvenu. Bilse fut expulsé de l'armée et condamné à six mois de prison par le tribunal de guerre de Metz. Il les purgea dans la forteresse de Strasbourg. Tous les officiers cités dans l'ouvrage furent mis à la retraite. Quelques mois plus tard les juges militaires connurent le même sort probablement pour avoir fait toute la lumière au lieu d'étouffer le scandale dans la mesure du possible. Le livre fut interdit et les plombs saisis, mais trop tard. A Forbach, le libraire Greiner avait vendu de nombreux exemplaires lus dans tous les milieux. A l'étranger, des éditions à succès parurent à Paris, Londres, Vienne, Saint-Pétersbourg et New York dont Sattler profita bien plus que Bilse..." (Henri Wilmin, Forbach sous le Deuxième Reich, 1870-1914)
L'Homme du fer. Mineurs de fer et ouvriers sidérurgistes lorrains. Tome 1 : 1889-1930.
Presses Universitaires de Nancy, Editions Serpenoise, 1986, gr. in-8°, 302 pp, 2e édition, 16 pl. de photos hors texte, une carte des bassins de mines de fer de la Lorraine, index, broché, couv. illustrée, bon état
"L'homme du fer, ce sont les traces écrites de la vie ouvrière dans les mines de fer et la sidérurgie lorraines de 1889 à 1930, premier volume d'une collection de documents sur la vie industrielle de la Lorraine. Les ouvriers eux-mêmes écrivent peu, si ce n'est dans leurs organes syndicaux. Là se trouve une première source d'informations. Revendications et doléances présentent pêle-mêle un tableau des conditions de vie et de travail, l'expression de la sensibilité spécifique à certains éléments de cette situation et l'orientation de l'action qui donne un sens à cette sensibilité même. De l'autre côté, des documents patronaux, en nombre moindre, donnent une autre version des mêmes faits. L'autorité administrative apporte un éclairage complémentaire, mais proche du précédent. De toute manière, elle est, dans les documents ouvriers, rangée sans équivoque dans le même camp que l'autorité patronale. La grève de 1905 donne lieu à une intensification de la polémique, reflet de l'intensification de la lutte sur le terrain. Dans cette partie de l'ouvrage, les documents se suivent et se répondent : c'est alors un véritable affrontement des acteurs sociaux par les textes. Mais on n'oublie pas ceux qui n'entrent pas dans le schéma classique. Les syndicats jaunes dénoncent « les meneurs étrangers », les « attentats contre la liberté du travail». Des témoins apportent une note plus sereine, mais non exempte de jugements de valeur. Les instituteurs sont sensibles aux conditions du travail et développent des vues moralisantes sur la vie ouvrière. Les quelques documents émanant du clergé apparaissent comme singulièrement décalés par rapport aux problèmes sur lesquels s'affrontent les parties en cause. Toutefois ils fournissent de précieuses indications sur l'état religieux de la classe ouvrière lorraine et plus particulièrement des immigrés, déjà nombreux au début du siècle (cf. notamment document 61, « L'évêque de Nancy et ses diocésains italiens »). En résumé, on n'insistera jamais assez sur le caractère vivant de tels documents une fois réunis. L'auteur, sans sacrifier au pittoresque a opéré une véritable mise en scène des archives." (François-A. Isambert, Revue française de sociologie, 1976)
La ligne rouge des hauts fourneaux. Grève dans le fer lorrain en 1905.
Denoël/Serpenoise, 1981, gr. in-8°, 382 pp, 108 photos et illustrations, sources, index, broché, couv. illustrée, bon état
Histoire de Metz.
Metz, Editions Serpenoise, 1985, gr. in-8°, 304 pp, nouvelle édition revue et corrigée, 64 pl. de gravures et photos hors texte, broché, couv. illustrée, bon état
Publiée pour la première fois aux Editions Serpenoise en 1978, "L'histoire de Metz" par René Bour, agrégé de l'Université, est devenue un grand classique pour les Lorrains qui lui ont fait un accueil enthousiaste et ont invité de nombreuses personnes à partager l'amour et la connaissance de leur région. Après une première édition de luxe, illustrée par 32 pastels inédits de René Koscher, l'année suivante – en 1979 – un volume de grande diffusion, enrichi de nombreuses photographies, répondait à une forte demande. Mise à la portée de tous, "L'histoire de Metz" invitait déjà de très nombreux lecteurs à pénétrer le passé de Metz intimement lié à l'Histoire.
Lorraine gothique.
Picard, 1989, gr. in-8°, 400 pp, 275 illustrations, biblio, index, reliure pleine toile crème de l'éditeur, jaquette illustrée, bon état (Coll. Les Monuments de la France gothique)
Histoire de la Lorraine. Les Temps modernes. 1. De la Renaissance à la guerre de Trente ans.
Nancy, Editions Serpenoise, Presses Universitaires de Nancy, 1991, in-4°, 245 pp, 148 illustrations en noir et en couleurs, 88 encarts, cartes, plans et tableaux, biblio, index, reliure toile éditeur, jaquette illustrée (pt accroc à la jaquette), bon état (Coll. Encyclopédie illustrée de la Lorraine)
"Les années 1508-1648 sont des années très contrastées pour la Lorraine ; elles sont marquées par une alternance de phases éclatantes et tragiques. La Lorraine est au cœur de l'affrontement politique entre la France et l'Empire germanique et plongée dans la tourmente des guerres de religion. La conjoncture est difficile pour les duchés de Lorraine et de Bar, les Français sont à leurs portes dès le milieu du XVIe siècle avec la mainmise sur les Trois Evêchés de Metz, Toul et Verdun. La position des ducs est délicate : ils vont jouer tantôt la carte française, tantôt celle de l'Empire pour conserver l'autonomie de leurs Etats. La guerre de Trente ans, qui débute en 1618, est la catastrophe la plus meurtrière de l'histoire lorraine et il ne faudra pas moins d'un demi-siècle pour reconstruire un pays ravagé. Guy Cabourdin s'est attaché à retracer les étapes de cette histoire en la replaçant au cœur du conflit européen, et au-delà du récit chronologique, il donne une description des institutions ducales et du personnel politique, présente les différents courants spirituels sans oublier un éclairage sur les hommes et leurs activités." (Scarlett Beauvalet-Boutouyrie, Annales de démographie historique, 1992) — Cette nouvelle Histoire de la Lorraine en sept volumes, se veut non seulement un récit des événements, mais aussi une mise au point sur les récents acquis de la recherche. L'ouvrage est publié sous la direction de Guy Cabourdin, lequel a de plus assuré la rédaction des deux volumes consacrés aux Temps modernes. Cette publication d'une très belle qualité est dotée d'une abondante iconographie et d'une grande richesse documentaire.
Terre et hommes en Lorraine (1550-1635). Toulois et Comté de Vaudémont. Tome I. (Thèse).
Université de Nancy II, 1977, gr. in-8°, 428 pp, cartes, nombreux graphiques et tableaux, une carte dépliante volante, broché, bon état (Annales de l'Est, mémoire n° 55)
Une vaste fresque économique et sociale de la Lorraine, plus spécialement du Toulois et du Comté de Vaudémont, du milieu du XVIe siècle à la guerre de Trente ans. Tome I seul (sur 2) : 1. Le milieu. 2. L'évolution démographique. 3. Les cadres fondamentaux de la société rurale. 4. Structures sociales et conjoncture économique. — "La thèse de Guy Cabourdin, soutenue en 1974, apporte une importante contribution à la connaissance du monde paysan de la « Première modernité ». Embrassant tous les aspects de la vie et de la société rurale, elle éclaire les rapports de la ville — ici, une cité moyenne, fort représentative d'un bon nombre d'autres dans l'hexagone — et de ses campagnes, elle décrit les étapes du mûrissement de la « crise des paysanneries » à la jointure des XVIe et XVIIe siècle : présentation du milieu, étude démographique, description des cadres fondamentaux de la vie rurale, interaction de la conjoncture et des structures... Tout au long de ce beau livre, un continuel souci de se tenir au plus près des réalités humaines, une visible sympathie pour les plus humbles, un refus louable de théoriser. En cela, ce travail s'inscrit dans la lignée des réflexions de Jean Meuvret et de Pierre Goubert." (Jean Jacquart, Revue d’Histoire moderne et contemporaine, 1979)
La Bataille de la Moselle, 25 août - 15 décembre 1944.
Sarreguemines, Editions Pierron, 1984, gr. in-8°, 445 pp, 89 photos sur 48 pl. hors texte, 22 cartes et plans, annexes, lexique, broché.
500.000 victimes. Civils lorrains, soldats français et américains sacrifiés. Pourquoi et comment ?
Histoire de la seigneurie lorraine de Tanviller-en-Alsace.
Berger-Levrault, 1886, in-8°, vi-247 pp, un frontispice et une planche hors texte, table, broché, couv. lég. défraîchie, bon état. Tiré à 310 exemplaires, un des 100 exemplaires non numérotés sur vélin, avec 2 eaux-fortes (Saffroy II, 16322)
Thanvillé, à l'entrée du Val de Villé.
Nancy avant la Révolution.
Nancy, Presses de Pixy, 2002, gr. in-8°, 300 pp, préface d'André Rossinot, nombreuses illustrations originales de l'auteur, biographies, biblio, broché, couv. illustrée, bon état, envoi a.s.
Cet ouvrage édité à compte d'auteur est un précieux document pour tous ceux qui se passionnent pour l'histoire architecturale de Nancy. L'auteur, architecte reconnu, a redessiné tout le patrimoine de sa ville natale, avant 1789. Un regard nouveau sur l'architecture de Nancy. — Nancy avant la Révolution était encore une petite ville d’environ 20.000 âmes. Elle était encore très arriérée sur certains points : l’éclairage public n’existait pas : ce n’est qu’en 1715 que Léopold fit installer 250 lanternes à suif allumées entre le 24 octobre et le 24 mars suivant. Des bourgeois étaient chargés d’allumer les lanternes de leur quartier et pour cela étaient dispensés de certaines servitudes en compensation. Pour la distribution de l’eau, qui était captée principalement sur les collines de Boudonville, elle était encore acheminée au début du XVIIIe siècle par des canaux en bois d’une étanchéité douteuse. On les remplaça progressivement par des conduits en pierre de taille et, en 1726, on construisit un réservoir destiné à retenir les eaux de la commune de Vandœuvre...
Sedan et le pays sedanais. Vingt siècles d'histoire.
Parnes-Chaumont, Editions FERN, 1969, gr. in-8°, 577-cxx pp, préface de Pierre Marot, 30 planches hors texte, 8 tableaux généalogiques, glossaire, 33 pièces annexes, index, reliure pleine toile verte de l'éditeur, dos lisse avec titres dorés, bon état. Tiré à 1200 exemplaires
Pierre Congar, Jean Lecaillon et Jacques Rousseau viennent de publier un important ouvrage sur le pays sedanais et sa capitale Sedan. Dans le premier livre intitulé « Les origines, le mosomois », les auteurs retracent l'histoire du Mosomois, noyau originel de ce qui deviendra le Sedanais, depuis la préhistoire jusqu'au XIIIe siècle. La densité des vestiges gallo-romains et mérovingiens apparaît faible en comparaison d'autres régions des Ardennes. Le Sedanais entre tard dans l'histoire, comme seigneurie dépendant de l'abbaye de Mouzon, puis par le jeu de l'avouerie ecclésiastique, de Gilles de Hierges. La maison de la Marck reçoit cette seigneurie en 1424 et la garde jusqu'en 1594. La partie la plus développée traite « l'aventure héroïque » du XVIe siècle, c'est-à-dire l'histoire de la Réforme, de la Petite Genève, du Collège et de l'Académie, des guerres de religion. En 1642, Sedan est rattachée au royaume après la conspiration de Cinq-Mars dans laquelle trempa son prince Frédéric-Maurice, frère de Turenne. Le gouverneur Fabert introduit la réforme catholique, développe l'industrie drapière qui connaît son apogée au XVIIIe siècle. De la période révolutionnaire, on a surtout retenu l'épisode du marquis de La Fayette au camp retranché de Sedan qui, en accord avec la municipalité, résista en 1792 à l'Assemblée Législative après la prise des Tuileries (p. 426-430). Ce gros ouvrage, bien illustré, comptant des pièces annexes, des généalogies, une excellente table méthodique, est désormais l'indispensable instrument de travail pour tout érudit sedanais. (Louis Trénard, Revue du Nord, 1970)
La Dernière des Amazones. Madame de Saint-Baslemont.
Nancy, Presses universitaires de Nancy, 1992, gr. in-8°, 186 pp, préface de René Taveneaux, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
Le Musée Historique Lorrain de Nancy s'orne, non sans fierté, d'une toile de 12 m² qui présente une étonnante cavalière, en habits militaires d'apparat, Madame de Saint-Baslemont, aussi célèbre que méconnue. Sans complaisance hagiographique l'auteur fait revivre la véritable personnalité de cette femme qui, dans la Lorraine désertifiée du début du XVIIe siècle, ravagée par les hordes et la soldatesque, demeura dans son fief et le protégea de son épée. Grossi d'une foule de réfugiés pris en charge, cet état miniature prospéra sous le gouvernement énergique de cette dame d'une folle vaillance, cumulant avec intelligence tous les pouvoirs. Ame de feu, exceptionnellement instruite et bien-disante, elle incarne aussi ce que fut, dans le vécu quotidien de l'existence, la pratique de la Réforme catholique, alors à son apogée. Ce comportement tout féodal, et délibérément exemplaire, ne put lui épargner les malveillances, les haines et les humiliations qui pesèrent sur une fin de vie pathétique.
Alsace-Lorraine. La carte au liseré vert.
Hachette, 1911, in-12, 232 pp, index, broché, bon état
Vue générale sur la Question d'Alsace-Lorraine.
P., Editions Bossard, 1918, in-12, 139 pp, une carte en dépliant hors texte, broché, couv. lég. salie, bon état
Le sens géographique de la Question d'Alsace-Lorraine ; Le sens historique de la Question d'Alsace-Lorraine ; Le sens juridique et politique de la Question d'Alsace-Lorraine. "C'est en étudiant la véritable signification géographique et historique des deux provinces qu'on découvre le sens profond de la Question d'Alsace, et, par là-même, les sources organiques de l'irrédentisme alsacien-lorrain." (Jules Duhem, avant-propos)
La Victoire des Vaincus. Deux journalistes belges en Alsace-Lorraine.
P., Arthème Fayard, s.d. (1910), in-12, 319 pp, notes et documents in fine, broché, couv. illustrée par Hansi, dos fendu, état correct
"La question que posaient et qu'ont résolue MM. Dumont-Wilden et Souguenet : que devient, après de longues années de conquête, une région durement soumise à l'entreprise du vainqueur ? A bicyclette, ils ont parcouru les villes et les villages des pays annexés, causant avec les gens qu'ils rencontraient, couchant à l'auberge, interrogeant les paysans, les bourgeois, les fonctionnaires, les hommes politiques, écoutant bien, regardant avec soin ; et ils ont travaillé « avec tout le désir d'impartialité dont se croyaient capables deux hommes vivant dans l'atmosphère fiévreuse et passionnée de ce temps. » Ils ont recueilli tous les témoignages, sans fausseté ; et ils les ont tous interprétés avec bonne foi. Leur enquête n'aurait eu, autrement, nul intérêt. Ils examinent le problème de la germanisation dans nos provinces et répondent : non, ces provinces ne sont pas germanisées, au bout de quarante ans. Le livre que leur enquête leur a donné porte ce titre : “La Victoire des vaincus” . Notre victoire, à nous vaincus de 1870, ce fut, en attendant mieux, l'âme française demeurée intacte, en Alsace et en Lorraine. Remercions ces écrivains belges, tant est forte leur joie d'annoncer la victoire des vaincus." (André Beaunier, Revue des Deux Mondes, 1914)
Gondrecourt-le-Château. Inventaire topographique.
P., Imprimerie Nationale, 1981, in-4°, xii-375 pp, texte : Documentation, sources et biblio, introduction géographique et historique, observations générales, inventaire topographique, oeivres mobilières privées, index ; illustration : 605 photos, plans et relevés photographiques, carte hors texte, reliure skivertex noir de l'éditeur, jaquette illustrée, bon état (Ministère de la Culture. Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France. Commission Régionale de Lorraine. Meuse. Canton Gondrecourt-le-Château)
En Lorraine (De l'Argonne aux Vosges).
Grenoble, Arthaud, 1941, gr. in-8° (16 x 21), 184 pp, richement illustré de 193 héliogravures, d'après des photos originales, dans le texte et à pleine page, broché, couv. rempliée illustrée en couleurs par Georges Collignon, bon état (Coll. Les Beaux Pays)
En Lorraine (Le coeur de la Lorraine).
Grenoble, Arthaud, 1942, gr. in-8° (16 x 21), 158 pp, richement illustré de 140 héliogravures, d'après des photos originales, dans le texte et à pleine page, complet de la carte volante, broché, couv. rempliée illustrée en couleurs par Ch.-J. Hallo, bon état (Coll. Les Beaux Pays)
Nancy et le Grand Couronné, 1914-1918.
Clermont-Ferrand, Michelin, 1919, in-8°, 112 pp, 21 cartes et croquis, une carte sur double page hors texte, nombreuses photos, cart. souple de l'éditeur, état correct (Coll. Guides illustrés Michelin des champs de bataille 1914-1918)
Mémoires de François de Lorraine, duc d'Aumale et de Guise, concernant les affaires de France et les négociations avec l'Ecosse, l'Italie et l'Allemagne, pendant les années 1547 à 1561. – Mémoires de Louis de Bourbon, prince de Condé, contenant ce qui s'est passé de plus mémorables en France pendant les années 1559 à 1564. – Mémoires inédits d'Antoine du Puget, sieur de Saint-Marc, concernant les troubles de religion dans le midi de la France, depuis l'année 1561 jusqu'à 1597.
P., Chez l'éditeur du Commentaire analytique du Code civil, 1839, pt in-4°, 752 pp, texte sur 2 colonnes, reliures demi-chagrin carmin, dos à 4 larges faux-nerfs ornés, caissons dorés et à froid, titres et tomaison dorés (rel. de l'époque), bon état (Nouvelle Collection des Mémoires pour servir à l'histoire de France depuis le XIIIe siècle jusqu'à la fin du XVIIIe, avec des notices, par MM. Michaud et Poujoulat)
"Les mémoires du duc de Guise sont en fait un précieux recueil de documents compilés par Millet : lettres présentées et commentées, des rois, des Lorraine, de la reine d'Ecosse, etc., notes sur les correspondants ; reproduction de pièces, par exemple toutes les relations huguenotes du massacre de Vassy, et la réfutation que le duc fit publier. Essentiel pour les sièges de Metz, de Renty, de Calais, de Thionville, la conspiration d'Amboise et la première guerre civile. Les éditeurs (Les Champollion) y ont joint des documents sur l'assassinat du duc et le procès qui suivit." (Hauser, II, 1255) – Louis de Bourbon, prince de Condé se signala d'abord par des services rendus au roi Henri II : expédition contre les anglais pour le recouvrement de Boulogne, défense de Metz avec le duc de Guise, expéditions militaires en Piémont, journée de Saint-Quentin, sièges de Calais et de Thionville. Mais là s'arrêtent les services rendus au roi. Soupçonné d'avoir favorisé la conjuration d'Amboise il est mis en prison par ordre de la faction des Guise. Avec l'avènement de Charles IX il est reconnu innocent, mais sa haine des Guise le pousse à prendre la tête du parti des huguenots. Fait prisonnier au combat de Jarnac en 1569, il est assassiné de sang-froid par le sieur de Montesquiou, capitaine des gardes du duc d'Anjou (futur Henri III). L'esprit d'opposition à la couronne de France du premier prince de la branche de Condé paraît avoir passé comme héritage à ses descendant jusquà la fin du règne de Louis XIV. (Introduction) – Antoine du Puget, seigneur de Saint-Marc fut d'abord capitaine d'infanterie. Il assista à la bataille de Bazac et obtint par la suite le gouvernement de Saint-Maximin et de Forcalquier. Il fut chargé, par le gouverneur de Provence La Valette, de former un régiment d'infanterie, puis par le duc d'Epernon de commander l'artillerie. Dans ses mémoires, il se contente de retracer méthodiquement le récit des événements dont il fut le témoin. Son style militaire ne le pousse pas à rechercher les causes de ces événements, ni à considérer leurs effets. (Introduction)
L'idée impériale. Histoire et avenir d'un ordre supranational.
Presses Universitaires de Nancy, 1989, gr. in-8°, 226 pp, traduit de l'allemand, préface de Pierre Chaunu, index, broché, couv. illustrée, bon état
"L'Europe d'Otto de Habsbourg n'est pas celle des eurocrates qui ne rêvent que d'un Super-Etat, peuplé d'âmes mortes, mais une grande communauté qui serait faite de toutes nos différences additionnées en une gerbe étincelante." (Pierre Chaunu)
Les Sires de Pierrefort de la maison de Bar.
[Nancy], [Mémoires de la Société d'archéologie lorraine], [1902], in-8°, 280 pp, paginé 210-487, 2 planches hors texte (une photographie du château reproduite en héliogravure, une planche d'armoiries), notes, reliure bradel papier terre de sienne à motifs floraux, dos lisse, pièce de titre basane havane (rel. de l'époque), bon état. Rare
"Notre distingué confrère M. H. Lefebvre vient de publier dans les "Mémoires de la Société d'archéologie lorraine" (volume de 1902) une étude très importante sur les Sires de Pierrefort de la maison de Bar. Cette branche cadette de la famille comtale domina pendant près d’un siècle sur la région comprise entre la Meuse et la Moselle, depuis Frouard jusque vers Verdun, où étaient disséminées ses possessions, et où s’élevaient ses nombreuses forteresses, dont les principales étaient : Pierrefort, près de Martincourt (Meurthe-et-Moselle), qui fut construite en 1306, comme l'établit M. Lefebvre ; l’Avant-Garde, au-dessus de Pompey, construite vers la même époque ; Bouconville, Sommedieue, Sampigny, Riste près d’Homécourt et Mussy près Longuyon. Son château de Nonsard était plutôt un séjour de plaisance qu’une place de guerre. Elle fit son apparition officielle sur la scène en 1300, et ne compta que trois représentants : Pierre l’ancien, fils du comte Thiébaud II, Henri son fils, et Pierre II, petit-fils du premier, avec qui elle s’éteignit dès 1380. Mais tous trois furent des hommes d’action et d’énergie, et leurs fortes individualités purent se développer librement à la faveur de l’anarchie chronique où se débattait notre province, et que l’entrée en scène des bandes d’aventuriers, anglais ou autres, vint porter à son comble à partir de 1359. Le second, Henri, joue un rôle honorable dans l’histoire générale, en combattant au service de la France. Mais le plus fameux fut le troisième, Pierre, le terrible « damoiseau de Pierrefort » dont le nom s’est perpétué jusqu’à nos jours dans l’imagination populaire. « Fier et hautain, mais vaillant aux armes », comme a dit Wassebourg, sa vie fut d’un brigand, mais d'un brigand héroïque. Après avoir longtemps défié ses voisins les plus puissants, il fut enfin accablé sous une formidable coalition, où entrèrent les ducs de Lorraine, de Luxembourg et de Bar, et la plupart des seigneurs du pays ; assiégé à Bouconville, il périt probablement dans une sortie « et fut enseveli aux champs », ses ennemis lui ayant refusé une sépulture chrétienne. (...). M. Lefebvre a su renouveler complètement le sujet et en éclairer certains points d’une lumière toute nouvelle. C’est ainsi qu’un mémoire de procédure, resté inconnu, lui a fourni les renseignements les plus intéressants sur les circonstances qui précédèrent la mort du damoiseau et motivèrent la formation, contre lui d’une coalition générale. Aucun document essentiel relatif au rôle local des sires de Pierrefort ne semble avoir échappé à l’auteur, qui s’est imposé les recherches les plus étendues. Signalons notamment ses appréciations, très justes à notre avis, sur le rôle de l’aristocratie messine, et sur la nature de ses transactions ordinaires." (F. Comte, Mémoires de la Société des lettres, sciences et arts de Bar-le-Duc, 1904)
Sion, le grand pélerinage lorrain. Histoire et description.
Nancy, Vagner, 1948, in-8°, 166 pp, 2 planches hors texte, broché, couv. illustrée, papier lég. jauni, bon état
I. Histoire du sanctuaire et du pélerinage. 1. Les Origines. 2. Sion et les comtes de Vaudémont. 3. Sion et le duché de Lorraine. 4. Au triomphe par les épreuves. 5. Sion sacré sanctuaire de la patrie française. 6. Le rayonnement de Sion. — II. Le sanctuaire et la colline. L'arrivée sur la colline. 1. L'église (le sanctuaire, la sacristie et le trésor, la nef). 2. Le plateau. 3. Le couvent et le musée. 4. Le panorama. 5. Excursion au Monument de Barrès et à Vaudémont.
Un village Vôgien à travers les siècles.
Nouvelles Editions Debresse, 1979, in-8°, 87 pp, 17 pl. de gravures et cartes hors texte, biblio, broché, état correct
Dommartin-lès-Ville rattaché à la commune de Ville-sur-Illon.
L'Appel de Lunéville. Pour une résurrection du Versailles lorrain.
Editions de l'Est, 2003, in-8°, 207 pp, broché, couv. illustrée, bon état
Livre-hommage en l'honneur du château de Lunéville paru à la suite de l'incendie qui ravagea ce dernier le 2 janvier 2003.
Le roi Stanislas (1677-1766).
Fayard, 2000 in-8°, 478 pp, sources et biblio, chronologie, glossaire, 2 cartes, index, reliure souple éditeur illustrée, bon état
Biographie de Stanislas Leszczynski, roi de Pologne, beau-père de Louis XV et à ce titre duc de Lorraine. Lettré brillant, esprit curieux à l'affût des découvertes et des inventions de son temps, grand seigneur fastueux, il a fortement marqué son temps. — Romantique et candide, il est élu roi de Pologne à vingt-sept ans mais il perd son trône aussi vite qu'il l'a conquis. Stanislas Leszczynski (1677-1766) entame alors une vie errante d'exilé permanent, ballotté entre les coups de chance et les catastrophes. Le destin lui fait signe en 1725, le jour où le tout-puissant roi de France, Louis XV, décide d'épouser sa fille, Marie Leszczynska. Huit ans plus tard, la chance se confirme en l'aidant à remonter sur le trône en 1733, mais le trahit de nouveau en le faisant tomber après vingt-quatre jours de règne... Réfugié en France, il a soixante ans quand son gendre lui confie, en 1736, la souveraineté sur les duchés de Lorraine et de Bar : un viager aux pouvoirs limités, en attendant le rattachement de ces territoires à la couronne de France. Mais le "pion" de Louis XV ne l'entend pas de cette oreille. Il gagne le cœur des Lorrains par sa bienfaisance et les amuse par sa passion pour les fêtes qui illuminent son château de Lunéville. La belle histoire va durer vingt-neuf années et permettre aux duchés de conquérir une place brillante dans l'Europe des Lumières. Protecteur attentif des arts, lettres et sciences, Stanislas invente une architecture festive unique en son genre. Féru d'urbanisme, il s'entoure des meilleurs architectes pour offrir à Nancy un exceptionnel ensemble monumental, digne d'une vraie capitale. Soucieux des pauvres, il crée des fondations pour venir en aide aux démunis et veille à l'éducation de ses sujets, fondant à Nancy une académie, une bibliothèque publique et donnant à son université ses lettres de noblesse. Pacifiste et réformateur, utopiste et théoricien du bonheur, il est également l'auteur de travaux littéraires qui conjuguent pragmatisme, esprit des Lumières et traditions chrétiennes. Il demeure l'une des figures éminentes les plus attachantes du XVIIIe siècle européen.
La Lorraine monastique au Moyen Age.
Nancy, Université de Nancy II, 1981, gr. in-8°, 143 pp, 16 pl. de photos hors texte, 8 cartes, biblio, inventaire des monastères et couvents de Lorraine au Moyen Age in fine, broché, couv. illustrée, bon état
Au Moyen Age, les établissements religieux érigés en Lorraine sont presque innombrables. Bien sûr, comme dans d'autres régions de l'ancienne Lotharingie, certaines fondations furent éphémères et ne laissèrent guère de traces : pas de fonds d'archives à proprement parler, mais seulement de brèves mentions dans des sources narratives, diplomatiques (liste de témoins) ou nécrologiques. L'auteur, spécialiste éminent du Moyen Age lorrain, présente ici les établissements religieux implantés en Lorraine au Moyen Age, témoins d'une intense foi religieuse et d'une vie spirituelle active des hommes et des femmes de ce temps. Cet ouvrage a pour originalité d'insérer l'histoire monastique dans l'histoire économique, politique et culturelle de la Lorraine.
Au service de l'Allemagne. M. Ruyssen, ses conférences en Alsace et à Bordeaux.
Bordeaux, Imp. coopérative, 1913, in-12, 50 pp, broché, étiquette de bibl., état correct, envoi a.s.
brochure de l'Action Française diffamant la réflexion pacifiste en 1913, du professeur de philosophie de la Faculté de Bordeaux, Théodore Ruyssen... — "« Divergences », voilà à quoi, dans la pensée de M. Ruyssen, se réduit la question d'Alsace-Lorraine. Pas un mot, pas même une allusion claire à ce fait, que les Alsaciens-Lorrains ont été malgré la France, malgré eux, incorporés à l'Allemagne. Or, « c'est tout le problème » remarque M. Aulard [journaliste à l'Action Française]. Et il ajoute : « Je vois bien ce que l'Allemagne gagne à cet oubli du grand grief, mais je ne vois pas du tout ce que la France y gagne ». M. Ruyssen y a, en tout cas, gagné 2.000 francs par an. Cela lui suffit." (p. 21)
Le Temps des journaux. Presse et cultures nationales en Lorraine mosellane, 1860-1940.
Editions Serpenoises, Presses universitaires de Nancy, 1983, gr. in-8°, 275 pp, 16 pl. de photos hors texte, sources et biblio, répertoire des principaux journalistes de la Lorraine mosellane (1871-1940), broché, couv. illustrée, pelliculage de la couv. lég. décollé au 2e plat, bon état, envoi a.s.
La Vie, la mode et le costume au XVIIe siècle, époque Louis XIII. Etude sur la Cour de Lorraine, établie d'après les mémoires des fournisseurs et artisans.
P., Champion, 1924, fort gr. in-8°, xvi-553 pp, préface de Christian Pfister, 27 planches d'illustrations hors texte dont deux en couleurs (dont une aquarelle originale de Maurice Leloir), biblio, index, reliure demi-chagrin noir, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres dorés, couv. conservées (rel. de l'époque), ex-libris Comte G. de Gontaut-Biron, très bon état. Edition originale, un des 975 exemplaires numérotés sur vélin
"... Pendant dix ans, M. Roy a dépouillé aux Archives les mémoires des merciers, tailleurs, bonnetiers, ceinturiers et autres artisans de la mode sous Louis XIII (1625-1635). Cette décade fut en France la plus belle époque du costume, le temps, disent les Chroniques, où on se vêtait en couleur. Ce fut une aimable débauche des nuances les plus exquises, parfois les plus inattendues. Avec des moyens inférieurs, nos ancêtres, sous le régime corporatif, réalisèrent, en un effort modeste et tranquille, une perfection inconnue à nos fièvres, à nos vertiges, se révélant en leur art des maîtres, dont les oeuvres, longtemps conservées, attesteront à nos yeux une humiliante supériorité. Les lectures de M. Roy ont vivement intéressé l'Académie, qui ne lui a pas ménagé ses applaudissements." (Léon Maujean, Compte Rendu des travaux de l'Académie de Metz, 1924)
Hussigny-Godbrange. Cartulaire, des origines à 1946.
Longwy, Editions Impact, 1980, in-8°, 317 pp, 27 illustrations, biblio, broché, couv. illustrée, bon état
Voyage aux pays annexés. Suite et fin du Voyage au Pays des milliards.
P., Dentu, 1877, in-12, 489 pp, reliure demi-percaline olive, dos lisse avec double filet doré en queue, pièce de titre basane carmin (rel. de l'époque), bon état
Table : Première partie : En pays wende. Le Hanovre. – Deuxième partie : Sur le Rhin. – Troisième partie : En Alsace-Lorraine.
Anthologie littéraire de l'Alsace et de la Lorraine du XIIe au XXe siècle.
Delagrave, 1920, in-12, 415 pp, broché, dos bruni, bon état (Coll. Pallas). Edition originale (il n'est pas mentionné de grand papier)
Recueil de textes accompagnés de notices bio-bibliographiques.
Histoire de Nancy. Suivie du panthéon nancéien.
Editions Mazarine, 1980, in-8°, 342-(18) pp, 13 illustrations dans le texte, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
Jean Vartier restitue le frémissement des heures fastes de cette capitale rayonnante, et le fond de l'abîme où la guerre, la peste et le diable plongèrent Nancy au XVIIe siècle. Il fait revivre aussi les traditions qui conjuraient la grisaille du quotidien : les faschenottes, le boeuf tabouré, le valentinage...
Nancy au XIXe siècle, 1815-1871. Une bourgeoisie urbaine.
Ophrys, 1978, gr. in-8°, 391 pp, 2 portraits hors texte, 25 figures in fine (dont 3 plans de Nancy dépliants), sources, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
Le cadre urbain et sa population : Un siècle de croissance ; La montée des notables, 1815-1850 ; La montée des capitalistes, 1850-1870.
Lorraine romane.
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1984, gr. in-8°, 336 pp, 162 héliogravures hors texte, 4 pl. en couleurs hors texte, plans, cartes, index, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, qqs soulignures crayon, 6 mots surlignés dans l'index, bon état (la Nuit des temps, 61)